DIABLO-GAMES

Bienvenue sur Diablo Games! Voici une liste de mes jeux vidéos accompagnés de leurs tests respectifs. Elle concerne toutes les consoles européénnes et japonaises, et les jeux PC. Les différentes notes tiennent compte de la puissance de la machine utilisée. Le but est de faire partager ma passion tout en donnant mon avis perso. Je joue depuis l'âge de 6 ns environ et ce n'est pas près de s'arrêter! Ma première console était une CBS Coleco Vision, un monstre qui pesait une tonne. Depuis les jeux ont beaucoup évolué et on s'approche de plus en plus de la perfection. Venez de temps en temps faire un tour sur ce blog, je rajoute des tests de jeux dès que je le peux. Bonne visite!

lundi 21 septembre 2009

Test de Wipeout

Premier d'une série toujours en cours, Wipeout fait partie de ces premiers jeux qui ont fait le succès presque immédiat de la playstation 1. Nous sommes en 2052 et la course anti-gravité est devenue le sport le plus populaire. Nous en sommes à la ligue F3600. Il y a des circuits aux quatre coins du monde. Quatre équipes se disputent le championnat : AG Systems (Japon), Auricom Research (USA/Canada), Qirex (Russie) et enfin Feisar (Europe). Il faut donc choisir son écurie dans un premier temps, puis chose qui se reproduira plus rarement dans les épisodes suivant, choisir son pilote. Et voilà, c'est parti pour une course endiablée sous une musique résolument techno, à très grande vitesse et en classe Venom pour commencer. Car la classe Rapier (beaucoup plus rapide) n'est accessible qu'après avoir fini la précédente. Pour gagner la course, vous pouvez utiliser des armes telles que les roquettes, les mines, les ondes de choc et bien plus encore en survolant des cases de couleur. Ce qui frappa, entre autres choses, les néophytes à l'époque, c'est qu'aucun autre jeu ne lui ressemblait vraiment, quel que soit la machine. Il y eu bien F-zero sur super-Nintendo, mais franchement, la comparaison était bien difficile! C'est ainsi, que Wipeout créa un nouveau genre pour de nombreux fans à travers le monde...

Graphismes :15/20
Wipeout est sorti en 1995 peu de temps après la sortie de la fameuse Playstation. Et même si aujourd'hui, les graphismes paressent bien trop pixelisés pour nos yeux, ils étaient plus que correctes pour l'époque. D'autant que les circuits étaient plus fous les uns que les autres.

Jouabilité :13/20
Les sensations sont nouvelles, puisqu'il ne s'agit pas ici de piloter un bolide sur route. Mais la tâche n'en est que plus ardue, surtout après quelque tours de pistes! Selon l'écurie choisie, chaque vaisseau réagit différemment aux sollicitations du pad. La sauce aurait été parfaite si votre F3600 ne serait pas arrêté net dès qu'il touche les bords de piste (même de peu!). Ce qui vous oblige à effectuer des courses parfaites.

Son :18/20
Qui dit environnement futuriste, dit souvent bande son futuriste. Wipeout obéit à cette règle de la meilleure façon. Les musiques qui agrémentent vos courses sont tout simplement EXCELLENTES!!! Et c'est normal, puisque que ce sont de vrais groupes de techno qui les ont conçu. Chemical Brothers, Leftfield, ou Prodigy, pour ne citer qu'eux.

Durée de vie :15/20
Wipeout dispose de six circuits très différents les uns des autres avec les habituels modes que nous connaissons déjà : championnat, course simple et contre la montre. Pour accéder à la classe supérieure (Rapier), il faudra terminer premier du championnat. Il existe une écurie bonus et un circuit caché. La difficulté croissante assure une durée de vie tout à fait honorable.

En bref :
Wipeout premier du nom restera pour beaucoup d'entre nous comme le point de départ d'une série mythique. Même s'il n'atteint pas la perfection, il offre des sensations particulières comme aucun autre jeu. Doté d'un environnement des plus crédibles, l'immersion se fait tout naturellement. Déjà un grand jeu.



Note globale : 15/20


Test de The darkness

Tiré d'une BD plutôt sombre, The Darkness a été développé par Starbreeze Studios. C'est l'histoire de Jackie Estacado, petite frappe mafieuse et tueur à gages de 21 ans dont le propre oncle, Paulie Franchetti 'le parrain', veut à tout prix la peau. Une bataille fratricide et à distance va alors s'engager entre les deux protagonistes. Paulie envoie ses lieutenants éliminer le neveu trop gênant et Jackie s'occupe de flinguer le bizness du tonton flingueur. Sauf que le jour ou ce dernier fini par s'occuper de la petite amie du jeunot, rien ne va plus! Surtout que le jour de son anniversaire, Jackie découvre un effroyable héritage : il est l'hôte du darkness. Créature sanguinaire aux puissants pouvoirs, le darkness dote son hôte de tentacules à grandes bouches et aux dents acérées comme des rasoirs ; il se nourrit également de l'obscurité dont il tire sa force. Il faudra donc penser à exploser toute source de lumière lorsque le darkness est activé sous peine de perdre tout pouvoir. Jackie va pouvoir aussi invoquer un trou noir ou encore des Darklings, petits monstres très efficaces et à l'humour noir qui l'aideront dans sa quête. Avec tout cet attirail, notre héros va régler ses comptes avec tonton Paulie. Mais malheureusement pour lui, ces pouvoirs ne sont pas sans contrepartie. Car le darkness compte bien prendre totalement possession de son hôte.


Graphismes : 16/20
Les graphismes sont très fins et le métro est plus vrai que nature! C'est d'ailleurs lui qui vous permettra de vous déplacer et de prendre acte de vos missions. Tout cela est très bien modélisé et colle parfaitement a cet atmosphère sombre qui règne sur le jeu.

Jouabilité : 15/20
Très simple à prendre en main, on en demandait pas moins, The darkness est un FPS. Et comme tout bon FPS, il faut pouvoir passer d'une arme à l'autre facilement, et heureusement pour nous, c'est le cas. Seule ombre au tableau, le contrôle de la tentacule au sol n'est pas des plus aisé. Surtout que dans certaines phases de jeu, il est indispensable de l'utiliser. De plus, le choix des armes n'est pas des plus fourni que je connaisse, mais heureusement, le darkness est là!

Son : 18/20
Les voix sont en VO et on ne peux s'empêcher de dire : tant mieux! En effet, les voix anglaises favorisent le réalisme et contribuent à l'immersion. Tout comme le son des armes qui est plutôt bien réalisé. Entendre un Darkling se servir de sa Gatling est un pur bonheur! Le darkness profitera aussi par moment pour vous transmettre ses pensées. Glaçant!

Durée de vie :14/20
The darkness a une durée de vie moyenne. Certaines phases de jeu sont assez agaçantes lorsque l'on arrive pas à trouver le bon chemin ; pas toujours évident notamment dans l'autre monde, (le no man's land) où les décors sont ultra simplistes. Et le brouillard n'arrange rien! 15 à 20 heures de jeu permettent d'en venir à bout.

Scénario : 16/20
Le scénario, comme souvent n'a pas été négligé. L'ambiance est parfois oppressante et très immersive. On sent bien la présence de cette mafia New Yorkaise. Le métro est un modèle du genre, du jamais vu dans un jeu vidéo. Quant au No man's land de 14-18, si vous vouliez avoir une idée des tranchées, vous l'avez!

Pour info :
Même si The darkness 2 a été annoncé en juillet dernier, les infos à son sujet ne sont pas nombreuses sur la toile. On sait que ce ne sera pas Starbreeze Studios qui s'occupera de son développement, l'équipe est déjà prise par 2 projets différents. Bonne ou mauvaise nouvelle?

En bref :
The darkness est un incontournable si vous aimez les FPS sombres (condemned par exemple). Toutefois, il n'est pas le meilleur. Peut-être à cause de quelques phases qui cassent le rythme. Mais il ne s'agit pas de dégommer tout sans réfléchir et c'est sans doute ça qui fait la différence. En résumé, au prix actuel du marché, vous pouvez vous le procurer sans crainte.



Note globale : 16/20

mardi 5 mai 2009

Test de Knights of Honor

Voilà sans doute le wargame que je préfère. Knights of honor vous propose d'incarner le monarque d'un pays au moyen-âge et de devenir ni plus ni moins que l'empereur d'Europe! Dans un premier temps, il vous faut choisir une période dans laquelle vous voulez jouer parmi les trois proposées. La première correspond à l'an mil, la deuxième à l'an 1200 et la dernière à l'an 1350. Ensuite, vous devez choisir la nation que vous voulez diriger sachant que l'époque de départ déterminera le nombre de nations en jeu. Il est important de bien choisir, car chaque nation ne dispose pas du même nombre de provinces. Par exemple, le royaume de France compte quatre provinces environ, alors que la Bretagne (qui ne faisait pas partie de la France à l'époque) n'en possède qu'une! Ceci fait, la partie commence et il va falloir gérer énormément de choses en même temps. Mais c'est justement là, tout l'intérêt du jeu. Vous devez gérer par exemple votre famille régnante. Si votre roi n'est pas marié, il vous faudra négocier un mariage avec une princesse d'une autre nation pour avoir des descendants qui puissent vous succéder. Plus un mariage a lieu tôt, plus le nombre d'enfants conçus peut être important. A la mort de votre roi, c'est l'un de ses fils qui accédera au trône (à choisir s'il y en a plusieurs). En cas d'absence d'héritier, c'est l'un de vos commandeurs qui se fera élire. Mais un autre cas peut arriver! Si votre roi meurt et n'a eu que des filles que vous avez marié à d'autres princes d'Europe, ces derniers peuvent revendiquer certaines provinces de votre pays puisqu'ils ont un lien de parenté avec votre famille! Ceci n'est qu'un des innombrables aspects de ce jeu. Il serait difficile de tous les énumérer ici, mais en voilà quelque uns que vous devrez gérer : la politique, la religion, le commerce, l'armée, les espions, les relations diplomatiques, etc...


Graphismes : 14/20
Les graphismes en 2D sont très correctes et clairs. Personnellement, j'aime beaucoup. Ils montrent une fois de plus qu'il n'est pas nécessaire de tout mettre à la 3D. Les batailles quant à elles sont en 3D isomètrique (fausse 3D) comme un certain Age of Empire.

Jouabilité : 16/20
Doté d'une très bonne interface, qui cependant pourra en faire fuir plus d'un, Knights of honor est accessible à tous si on prend en compte le tutorial indispensable pour apprendre à y jouer. En effet n'espérez pas vous débrouiller tout seul ; surtout si vous ne possédez pas de notice!

Son : 14/20
Les musiques sont très agréables. Elles auraient pu être un peu plus moyen-âgeuses, mais ce n'est pas si mal ainsi. Les voix françaises sont correctes, mais peu nombreuses à mon goût. Il en est de même pour les bruitages.

Durée de vie : 19/20
Avec tous les pays disponibles vous avez l'embarras du choix. Il n'est pas aisé de devenir empereur d'Europe! Avec tout ce qu'il y a à gérer, vous avez du pain sur la planche. Rien qu'à eux, les espions peuvent tout faire basculer, pousser vos provinces à la révolte ou encore saboter vos routes de commerce. Certaines nations ennemies peuvent aussi soudoyer les autres pour rompre les relations diplomatiques avec vous. En quelque mots, c'est carrément excellent!

Scénario :
Il n'y a pas vraiment de scénario dans Knights of Honor, car c'est à vous de le faire! Choisissez une nation et hop! C'est parti! Mais rien ne vous empêche de refaire l'histoire. Envahir l'Angleterre avec la France, par exemple (ou avec l'Ecosse ça marche aussi!)! Hein?! Je suis chauvin? Ben oui, et alors???

Pour info :
Il existe un patch sur le web qui corrige quelque petits bugs et qui semble corser la difficulté du jeu. Vous pouvez le trouver sur Jeuxvideo.com


En bref :
Il ne manque rien à Knights of Honor. Ceux qui ont aimé Age of Empire peuvent se tourner vers ce jeu s'ils ont envie de compliquer la tâche. Car les batailles, que l'on décide de diriger ou non, y ressemblent étrangement. Il est tout simplement terriblement prenant, surtout si on aime les wargames. Il n'est d'ailleurs pas sans rappeler un certain Defender of the crown qui avait marqué les joueurs à son époque, les parties arcades en moins. Je verrai bien une suite moi...



Note globale : 18/20

lundi 26 janvier 2009

Test de Heavenly Sword

Heavenly Sword ; voilà un projet au proportions hollywoodiennes, qui a demandé pas moins de cinq années de développement. Ninja Theory a pris son temps pour développer ce titre et s'est entourée d'une équipe particulièrement douée à tous les niveaux. Pour exemple, Andy Serkis que nous connaissons tous pour son rôle de Smergold dans "le seigneur des anneaux", s'est fondu en comédien et metteur en scène ; rien que ça! Le jeu nous raconte l'histoire de Nariko, fille d'un chef de clan chargé de protéger la légendaire épée des dieux : Heavenly Sword. La légende veut que nul ne peut la porter sans le payer de sa vie, et qu'un garçon a pour destin de sauver le monde de la tyrannie avec cette épée. Le roi Bohan, tyrannique et despote, veut s'emparer de cette dernière par tous les moyens. En fuite et à bout de souffle, Nariko va prendre la décision la plus difficile de sa vie en se servant d'Heavenly Sword, dans le seul but de défaire les hordes de Bohan et sauver son clan. Malheureusement, l'épée la consume peu à peu, et ses jours sont comptés.


Graphismes : 19/20
Mon dieu que c'est beau!!! C'est tout simplement magnifique! Qui a dit que la PS3 n'avait pas une bonne carte graphique? Ce jeu répondra mieux que moi à cette question. Les décors sont somptueux, les traits des nombreux personnages sont très travaillés, le style est exemplaire, la mise en scène accrocheuse, en bref, victoire sur toute la ligne.

Jouabilité : 14/20
Les différents combos demandent un peu d'entraînement mais demeurent tout de même accessibles. Certaines phases de combat utilise la reconnaissance de mouvements de la manette Sixaxis, et elles aussi demandent un temps d'adaptation. Mais une fois toutes ces techniques assimilées, le plaisir est là. Le tir à l'arbalète fait partie des moments que je préfère.

Son : 19/20
Voici l'autre point fort du soft. Les musiques sont superbes et très agréables. Elles ont été conçues par Nitin Sawhney et joué par l'orchestre philharmonique de Prague. Les voix des personnages sont excellentes. Par contre, j'ai une petite préférence pour la version anglaise, bien que les voix françaises soient plus que correctes. Quant aux bruitages, eux aussi sont réussis. Vous prendrez sans aucun doute autant de plaisir que moi à entendre les os de vos ennemis craquer sous vos coups. Gnarf!

Durée de vie : 14/20
Ce jeu est malheureusement court par rapport à sa qualité générale. Même si certaines phases de jeu vous demanderont certainement pas mal de temps pour les passer, comme le combat avec Bohan par exemple, on a le sentiment de rester sur notre faim.

Scénario : 15/20
Les nombreuses cinématiques soutiennent un scénario bien huilé, mais peut-être pas assez approfondi. Un tel développement aussi technique est en droit d'avoir une histoire grandiose. Même si on accroche sans mal, on regrette de ne pas en savoir plus.


En bref :
Les graphismes frappent d'entrée lorsque l'on découvre pour la première fois Heavenly Sword. Malheureusement, ce plaisir retombe quelque peu après quelques minutes de jeu. La faute à un gameplay pas assez travaillé selon moi et un peu brouillon. Mais rassurez-vous, c'est la seule ombre au tableau de ce titre qui ne laissera personne indifférent. La qualité générale est très bonne malgré tout.



Note globale : 17/20

dimanche 25 janvier 2009

Test de Resistance : fall of man

Voici le premier FPS de l'histoire de la pS3. Et c'est Insomniac Games qui s'y colle. Connus surtout pour leur saga "Ratchet & Clank", les voilà qui s'attaquent à un genre plus que répandu ; on en ferai presque une indigestion. Disponible dès la sortie de notre monolithe noir, Resistance était très attendu au tournant. Mais avant, un peu d'histoire. Le théâtre des opérations se situe en Grande-Bretagne, en 1951, et dans une monde qui n'a pas connu la deuxième guerre mondiale. Au fin fond de la Russie, des savants ont lâché un virus sur la population locale. Lorsque les russes fermèrent leur frontières, l'Ouest redouta qu'ils ne développent une arme de destruction massive. Malheureusement pour les européens, la vérité était bien pire. Les Chimères déferlèrent de l'Est, et en deux mois seulement, l'Europe tomba. Ce virus transforme les humains en monstre sanguinaires dotés de facultés régénératrices. Ils sont coriaces, mais surtout, leur technologie est particulièrement avancée ; ce qui ne vous facilite pas la tâche. Vous êtes Nathan Hale, soldat américain envoyé avec tout un contingent pour soutenir la resistance dans une Grande-Bretagne en ruine.


Graphismes : 15/20
Une atmosphère grise et légèrement familière ressort du soft. On se croirait, dans un premier temps, en train de jouer à Call of Duty ou Medal of Honor. Les graphismes sont bien travaillés, mais rien d'exceptionnel. Cependant, les décors sont fidèles à l'idée que l'on peut se faire des années 50.

Jouabilité : 16/20
C'est rapide et aucun ralentissement n'est à déplorer. L'action est bien présente, les ennemis nombreux et des cinématiques ponctuent votre progression. La prise en main est très intuitive, surtout si vous n'en êtes pas à votre premier FPS. On notera la possibilité de piloter un tank assez dévastateur, une jeep et, tenez-vous bien, un stalker!!! Quel pied!

Son :15/20
Le son des explosions, les balles qui heurtent les surfaces en tous genres, les cris des Chimères, collent bien à l'action. Je me suis même surpris à comprendre une conversation de Chimères! Et franchement c'était pas gagné! On dirait un un type essayant de parler tout en dégobillant son dîner.

Durée de vie : 14/20
Le soft n'est pas des plus long que je connaisse. Mais les différents mode de jeu vous tiendrons en haleine assez longtemps pour peu que l'on s'y intéresse. Certains gros ennemis vous donnerons du fil à retordre. Pour venir à bout d'un Stalker par exemple, la stratégie d'attaque a un rôle primordial. Car ce genre de monstre mécanique ne vous laissera aucune chance. On peut y jouer jusqu'à quatre en écran splité et jusqu'à quarante en online!

Scénario : 16/20
L'histoire est assez originale. C'est un fin mélange de Alien, Resident Evil, et de Starship Troopers. Du moins c'est mon avis. Cependant, on peut regretter que le scénario ne soit pas plus exploité, car il y avait de la place pourtant.


En bref :
C'est avec un environnement original, que le premier FPS de l'histoire de la PS3 essaie de se frayer un chemin. Même s'il ne marquera pas les habitués du genre, il faut quand même avouer qu'il est efficace rapide et facile à prendre en main et c'est déjà bien.



Note globale : 15/20